Ce film de 1975 présente synthétiquement la municipalité communiste de Malakoff, son histoire (depuis 1925) et surtout ses réalisations récentes et leur contexte.
Ainsi, l’action en direction des enfants avec la création d’équipements et le recrutement d’un personnel qualifié ; la cuisine centrale et le principe de ses tarifs proportionnels aux revenus des usagers ; l’action en direction des anciens avec les équipements spécifiques ; les productions variées présentées dans le récent Théâtre 71 (créé en 1971) ; les succès sportifs des clubs de Malakoff forment le cœur des réalisations mises en avant par le film. On retrouve là les points forts habituels des municipalités à gestion communiste.
Elles sont encadrées par deux séquences appelant à la mobilisation populaire. La première est constituée par une allocution de celui qui dirige la ville depuis dix ans, le dirigeant communiste national, Léo Figuères (1918-1991). Il indique que tous les accomplissements municipaux depuis que la ville a un maire communiste – c’est-à-dire depuis cinquante ans – n’ont pu être obtenues que par les luttes qui ont été menées pour elles. Suit alors une séquence consacrée à une manifestation communiste départementale à l’initiative des neuf maires PCF des Hauts-de-Seine ; la seconde pointe les limites de l’action municipale et appelle à l’action populaire pour dépasser ces difficultés et résister aux actions impulsées sur le plan national.
À noter, un fond musical particulièrement soigné avec des chansons des années 1970 à fort rayonnement : « San Tropez » des Pink Floyd, « Ma France » de Jean Ferrat, « La Matinée » de Jean Ferrat et Christine Sèvres.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images
Ainsi, l’action en direction des enfants avec la création d’équipements et le recrutement d’un personnel qualifié ; la cuisine centrale et le principe de ses tarifs proportionnels aux revenus des usagers ; l’action en direction des anciens avec les équipements spécifiques ; les productions variées présentées dans le récent Théâtre 71 (créé en 1971) ; les succès sportifs des clubs de Malakoff forment le cœur des réalisations mises en avant par le film. On retrouve là les points forts habituels des municipalités à gestion communiste.
Elles sont encadrées par deux séquences appelant à la mobilisation populaire. La première est constituée par une allocution de celui qui dirige la ville depuis dix ans, le dirigeant communiste national, Léo Figuères (1918-1991). Il indique que tous les accomplissements municipaux depuis que la ville a un maire communiste – c’est-à-dire depuis cinquante ans – n’ont pu être obtenues que par les luttes qui ont été menées pour elles. Suit alors une séquence consacrée à une manifestation communiste départementale à l’initiative des neuf maires PCF des Hauts-de-Seine ; la seconde pointe les limites de l’action municipale et appelle à l’action populaire pour dépasser ces difficultés et résister aux actions impulsées sur le plan national.
À noter, un fond musical particulièrement soigné avec des chansons des années 1970 à fort rayonnement : « San Tropez » des Pink Floyd, « Ma France » de Jean Ferrat, « La Matinée » de Jean Ferrat et Christine Sèvres.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images



