FETE SAINT PIERRE DES MARINS
Normandie Images
1960 | Familial
- 00:28:20
Fécamp, Côté mer et côté jardin. De la cérémonie de Saint Pierre des Marins à un feu de joie dans un jardin familial, avec une petite incursion au Mont Saint Michel.
Les Fécampois ont grimpé sur le rebord des grilles de l’église pour assister à la procession de Saint-Pierre des marins et au défilé des communiantes. On porte les maquettes des bateaux pour la bénédiction. C’est un jour important.
A quai, des ouvriers s’activent encore à peindre la coque d’un bateau alors qu’on largue ses amarres.
On change de décor, scènes de jardin : on y jardine, on y lit, on y discute, on y tricote et surtout on se berce, seul ou à deux, sur la balançoire.
Au jardin encore, mais de nuit, on fait brûler un feu, de la Saint Jean peut-être, autour duquel toute la famille tourne en jouant aux indiens et en sautillant.
Le film passe à la couleur pour la visite du Mont Saint-Michel. Nous retrouvons le jardin et deux jeunes filles qui pratiquent la gymnastique, puis un twist endiablé. Elles sont bientôt rejointes par leur père qui se déhanche avec enthousiasme. C’est, l’automne en forêt. Il semble que l’on soit venu y chasser. Des amis jouent aux quilles dans un jardin, souvent ces dames ratent leur cible et les hommes malgré des gestes olympiques et un très grand sérieux ne font pas toujours mouche.
Lors d’une course cycliste le public peut voir Bourvil et lui serrer la main. Il crée l’attraction des spectateurs et arbore son célèbre sourire. Le peloton passe à toute allure. Le film se termine à bord d’un bateau de pêche qui quitte le port de Fécamp. Les pêcheurs relèvent leurs casiers à homards. On débarque des cargaisons de morue séchée des cales d’un terre-neuva pour les trier et les entreposer.
IG/OK
Les Fécampois ont grimpé sur le rebord des grilles de l’église pour assister à la procession de Saint-Pierre des marins et au défilé des communiantes. On porte les maquettes des bateaux pour la bénédiction. C’est un jour important.
A quai, des ouvriers s’activent encore à peindre la coque d’un bateau alors qu’on largue ses amarres.
On change de décor, scènes de jardin : on y jardine, on y lit, on y discute, on y tricote et surtout on se berce, seul ou à deux, sur la balançoire.
Au jardin encore, mais de nuit, on fait brûler un feu, de la Saint Jean peut-être, autour duquel toute la famille tourne en jouant aux indiens et en sautillant.
Le film passe à la couleur pour la visite du Mont Saint-Michel. Nous retrouvons le jardin et deux jeunes filles qui pratiquent la gymnastique, puis un twist endiablé. Elles sont bientôt rejointes par leur père qui se déhanche avec enthousiasme. C’est, l’automne en forêt. Il semble que l’on soit venu y chasser. Des amis jouent aux quilles dans un jardin, souvent ces dames ratent leur cible et les hommes malgré des gestes olympiques et un très grand sérieux ne font pas toujours mouche.
Lors d’une course cycliste le public peut voir Bourvil et lui serrer la main. Il crée l’attraction des spectateurs et arbore son célèbre sourire. Le peloton passe à toute allure. Le film se termine à bord d’un bateau de pêche qui quitte le port de Fécamp. Les pêcheurs relèvent leurs casiers à homards. On débarque des cargaisons de morue séchée des cales d’un terre-neuva pour les trier et les entreposer.
IG/OK