Chroniques de la guerre d'Algérie, Merzak Labandji
Cinémathèque de Bretagne
2011 | Documentaire
- 00:36:00
Consistant en 52 DVD sur l’histoire de la guerre de libération nationale (1954-1962), sous le thème «Chronique de la guerre d’Algérie». Ces importants documents renferment des dizaines de témoignages d’acteurs de cette guerre et de personnes ayant vécu cette période, parmi les Algériens et les Français, outre des photos d’archives sur les évènements phares qui ont marqué la Révolution.
Merzak LABANDJI. Né en 1938. Appelé puis harki à Paris. Kabylie, Orange, Toul, Paris.
Le père garde-forestier et conseiller général décède dans les années 1954. Le frère qui reprend les fonctions du père est menacé par le FLN et gagne la France. Âgé de 16 ans en 1954, il voit s’installer la guerre et les exactions des uns et des autres. Sa mère est égorgée par le FLN alors qu’il est à Alger. En juillet 1958, il est appelé pour faire son service militaire qu’il effectue dans sa totalité en France dans l’aviation. Lors d’une permission, il apprend le décès de sa sœur suite à des tortures administrées par l’armée française. A sa libération en 1960, il retourne en Algérie et pris entre les deux feux, il décide de partir et saisit l’occasion de rentrer dans la force de police auxiliaire à Paris. Au cessez-le-feu, il rejoint la police municipale. Ensuite il est affecté en 1964 à Choisy le roi puis en 1969 à la police de l’air et des frontières où il fera toute sa carrière jusqu’en 1993. En 1974, il retourne en Algérie.
Merzak LABANDJI. Né en 1938. Appelé puis harki à Paris. Kabylie, Orange, Toul, Paris.
Le père garde-forestier et conseiller général décède dans les années 1954. Le frère qui reprend les fonctions du père est menacé par le FLN et gagne la France. Âgé de 16 ans en 1954, il voit s’installer la guerre et les exactions des uns et des autres. Sa mère est égorgée par le FLN alors qu’il est à Alger. En juillet 1958, il est appelé pour faire son service militaire qu’il effectue dans sa totalité en France dans l’aviation. Lors d’une permission, il apprend le décès de sa sœur suite à des tortures administrées par l’armée française. A sa libération en 1960, il retourne en Algérie et pris entre les deux feux, il décide de partir et saisit l’occasion de rentrer dans la force de police auxiliaire à Paris. Au cessez-le-feu, il rejoint la police municipale. Ensuite il est affecté en 1964 à Choisy le roi puis en 1969 à la police de l’air et des frontières où il fera toute sa carrière jusqu’en 1993. En 1974, il retourne en Algérie.