Chroniques de la guerre d'Algérie, Jean David
Cinémathèque de Bretagne
2011 | Documentaire
- 00:52:00
Consistant en 52 DVD sur l’histoire de la guerre de libération nationale (1954-1962), sous le thème «Chronique de la guerre d’Algérie». Ces importants documents renferment des dizaines de témoignages d’acteurs de cette guerre et de personnes ayant vécu cette période, parmi les Algériens et les Français, outre des photos d’archives sur les évènements phares qui ont marqué la Révolution.
Jean DAVID. Né en 1936. Appelé. Bouira, Blida, Champlain, Ouled-Brahim
Il est appelé en juillet 1956, fait ses classes à Cherbourg et embarque pour l’Algérie en novembre 1956. Il reste peu de temps à Bouira car il est envoyé à Blida pour le peloton de brigadier. C’est une période difficile sur un plan physique. Un de ses camarades, pied-noir l’invite lui et d’autres camarades chez ses parents pour un déjeuner qui malheureusement sera annulé pour cause d’opération militaire. A un autre moment, i l est invité par un couple d’agriculteurs et se rend compte que ceux-ci traitent bien leurs ouvriers algériens. Il dirige la construction d’une tour de guet puis participe à une opération de contrôle pour le référendum au cours de laquelle il subit un accrochage sévère avec une unité de l’ALN. Il lui est accordé plusieurs permissions à Alger et en France pour les mariages des frères et sœurs. Il est libéré en octobre 1958.
Jean DAVID. Né en 1936. Appelé. Bouira, Blida, Champlain, Ouled-Brahim
Il est appelé en juillet 1956, fait ses classes à Cherbourg et embarque pour l’Algérie en novembre 1956. Il reste peu de temps à Bouira car il est envoyé à Blida pour le peloton de brigadier. C’est une période difficile sur un plan physique. Un de ses camarades, pied-noir l’invite lui et d’autres camarades chez ses parents pour un déjeuner qui malheureusement sera annulé pour cause d’opération militaire. A un autre moment, i l est invité par un couple d’agriculteurs et se rend compte que ceux-ci traitent bien leurs ouvriers algériens. Il dirige la construction d’une tour de guet puis participe à une opération de contrôle pour le référendum au cours de laquelle il subit un accrochage sévère avec une unité de l’ALN. Il lui est accordé plusieurs permissions à Alger et en France pour les mariages des frères et sœurs. Il est libéré en octobre 1958.