C'est avec une certaine inquiétude que le cinéaste amateur Gérard Guth capture, de 1987 à 1988, des images saisissantes de la biodiversité végétale et animale sur les collines de Nordheim. Il matérialise cette peur en associant le danger aux infrastructures humaines, qui saccagent la pérennité de la nature, en prenant pour exemple la tour émettrice qui surplombe sa ville.